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Le petit Tarzan est attendu par ses parents

Après un bébé Marseille, un autre Jihad, une petite Liam voit ses parents convoqués devant la justice pour avoir voulu l’appeler comme un garçon. En France, la liberté des prénoms est grande.

Suélène

En France, on ne peut pas appeler son fils Joyeux et Patriste, la justice les avaient interdits en 2006 car « fantaisistes, voire ridicules ». Mais on peut appeler son fils Tarzan. Ou Marseille, un prénom récemment contesté, mais validé.

Qu’en sera-t-il de la petite Liam, dont les parents, un couple de Bretons, ont été convoqués en justice pour avoir voulu prénommer leur dernière-née de ce « prénom usuellement masculin » selon le ministère public ? Ils doivent comparaître prochainement devant le juge aux affaires familiales du tribunal de Lorient.

Seuls quelques prénoms sont recalés chaque année en France. Chaque semaine, la Ligue des officiers d’état civil publie sur son site la liste des prénoms les plus bizarres. Les derniers-nés ? Des bébés nommés Djeydon, Leelou-Pearl, Suèlène et Fée.