Toutefois, en France, les stigmates de la pandémie vont s’ancrer dans la mémoire collective via les prénoms des bébés à naître : des classiques des années 1930, et d’autres plus rares et… verdoyants. Explications.
Hommage aux aînés
Pour certains couples, 2020 restera l’année de l’heureuse nouvelle de la grossesse, mais aussi celle du deuil d’un proche parent. Les aînés, premières victimes de la pandémie de Covid-19, pourraient donc être mis à l’honneur par les néo-parents de 2021, qui auront plus que jamais envie de choisir un prénom porteur de l’histoire familiale. Cette pratique, qui est déjà une coutume dans certaines cultures et régions – en Corse notamment –, est appelée à se généraliser. Stéphanie Rapoport et Claire Tabarly-Perrin tablent ainsi sur un regain de petites Angèle, Colette, Hélène, Nicole et Marguerite et de jeunes Alfred et Jacques.