Cette option est destinée à certains électeurs nés dans des pays où l'inscription d'un prénom à l'état civil n'est pas obligatoire.
Au Cameroun, par exemple, certaines personnes ne possèdent pas de prénom, comme le ministre de l’élevage des pêches et des industries animales, Dr Taïga. Par ailleurs, «dans l’état civil de certains pays, la distinction nom/prénom n’existe pas. Parfois seul un nom personnel suffit (en Indonésie, en Birmanie, il arrive que les citoyens n’aient qu’un seul nom : il joue le rôle de prénom, car il n’est pas transmissible, mais il n’est pas associé à un nom de famille)», explique Baptiste Coulmont, maître de conférence à Paris VIII et auteur de «La sociologie des prénoms».