"C'est presque comme s'il se pliait en quatre pour dénaturer mon nom ", dit LaKeisha Walton, une des élèves du professeur Maujer. "Il n'y a que trois syllabes, et c'est phonétique. Ce n'est vraiment pas si complexe."
D'autres étudiants noirs, avec des noms également faciles à articuler, partagent le sentiment de LaKeisha.
"Une fois, il a essayé et échoué quatre fois pour dire correctement mon nom devant toute la salle de conférence", explique DeAndre Phillips.
Vous aimerez aussi
