«Il s’agit d’une erreur cognitive que nous faisons, et qui dit quelque chose de la façon dont nous considérons que quelqu’un appartient à notre groupe», expliquait en mai dernier le chercheur en neurosciences David Rubin, un des coauteurs de l’étude. Les auteurs notaient également avec surprise qu’il arrive fréquemment aux personnes interrogées de se tromper entre le nom d’un proche et celui d’un chien, mais pas celui d’un chat.
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