Ces prénoms issus de la littérature à donner à votre enfant, ces prénoms courts à donner à votre enfant, le top des prénoms garçons rock and roll, 10 prénoms inspirés de la chanson française, 10 prénoms de bébés stars les plus lourds à porter…
Ce type d’articles fleurit sur le web et la Loec n’est pas le dernier à les relayer chaque midi. Certains d’entre eux sont de véritables pièges à clics, d’autres sont d’un intérêt mineur.
Aujourd’hui, la Ligue a décidé de parodier ces articles avec ce Top spécial prénoms de tueurs en série.
1- Emile (ou Louis)
Le chauffeur de bus bourguignon est très certainement le plus célèbre professionnel du transport scolaire de France. Depuis qu’il a accédé à la notoriété, il a vu la côte de son prénom s’effondrer. Depuis trois ans qu’il nous a quitté, de l’eau a coulé sous les ponts de l’Yonne, il serait peut-être temps de réhabiliter ce prénom, non ? Et pourquoi pas d’en faire un composé : Emile-Louis.
2- Thierry (ou Paulin)
Le prénom du Monstre de Montmartre (également appelé le Tueur de vieilles dames) est complètement tombé en désuétude. Il est attribué à moins de 50 enfants chaque année depuis le début des années 2000. Un prénom rare et qui contient un Y, voilà qui devrait rendre folle les mamounes.
3- Patrice
O Toulouse, sa place du Capitole, ses murs en brique de terre cuite, son équipe de rugby, ses chocolatines, son industrie aéronautique, Patrice Alègre… Le prénom du tueur de femme est aujourd’hui aussi démodé que la houppette qu’il portait sur le sommet de son crâne lors de son procès d’assises. D’ailleurs, quitte à devoir choisir, vous préférez un retour de hype de cette coupe de cheveux ou de ce prénom ?
4- Henri-Désiré
Le prénom d’un des plus célèbres criminel français peut apparaître comme désuet. Pourtant sa signification est lourde de sens : pour Désiré, vous avez deviné, et Henri signifie “maître de maison”. Lourd de sens quand on sait que Landru faisait disparaître ses victimes dans les fourneaux des maisons qu’il louait.
5- Hélène
Les femmes aussi ont marqué l’histoire criminelle française. En 18 ans, la cuisinière bretonne Hélène Jégado (1803-1852) a officiellement commis cinq empoisonnements et cinq tentatives, tous à l’arsenic. La légende raconte qu’elle pourrait en avoir commis 36. Bref, elle n’a rien à envier aux pires ordures ayant émergé sur le territoire français et citées dans cet article. De ce fait, elle n’a pas échappé à une condamnation à mort.
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