Des citoyens ordinaires avec juste un patronyme pas tout à fait ordinaire emprunté à des footeux ultra médiatiques. Fastoche à vivre ? «Tout dépend du public avec qui je me trouve, s’il est sportif ou non, raconte ainsi Olivier Girou (sans le «d») mais c’est sûr qu’on m’en parle souvent. C’est pareil quand je paye par carte bancaire ou par chèque. Les personnes derrière la caisse me regardent parfois bizarrement. J’ai aussi droit à des blagues sur les performances de mon homonyme.»
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