« J’avais répondu à une offre de Pôle Emploi», explique Marion à La Dépêche du Midi. J’ai commencé par du travail intérimaire au mois de mars et au bout de trois semaines, j’ai enchaîné sur une action de formation préalable à l’emploi (AFPR). C’est là que ça s’est gâté. M. L., le patron, m’a demandé de changer mon prénom en Marie parce que des clients pourraient me confondre avec une autre Marion qui travaille dans le même service», raconte la jeune femme.
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