Beau comme un dieu, Jostophe est aussi le possesseur d’un drôle de prénom.
Hésitant de longue date entre les prénoms « Joël » et « Christophe », les parents de cet adepte d’Eddy Malou ont finalement opté pour un mélange singulier, afin de refléter toute la dualité de ce brutal au cœur sensible.
Mais peut-on vraiment donner n’importe quel prénom à son enfant ?
Si celui-ci revêt en effet un caractère affectif et intime qui le fait entrer dans la sphère privée, il a aussi une dimension sociale, dans laquelle il est facile d’imaginer les dérives d’un prénom mal choisi.
Quelles sont alors les limites que le Droit impose au choix du prénom ? Qui contrôle celui-ci, et dans quels cas ?
Et surtout : peut-on vraiment appeler son fils « Jostophe » ?
Article précédentLes gâteaux du dimanche 27 mars, épisode 1
Article suivant La semaine de la Loec sur Twitter
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.