Top

Le top de l’année, par l’officier Antoine

Déc 31, 2015002468

Nous sommes dans les ultimes minutes de cette année 2015 qui aura vu naître ce site. On continue la rétro, mais place à la subjectivité. Nos deux officiers dévoilent leurs coups de cœur de l’année. Et ce n’est pas toujours les articles plus lus.

3. Chiasse et Merve sont dans la même classe

Pourquoi ? “Je pense qu’il s’agit d’une faute de frappe et que personne ne s’appelle Chiasse. Du moins, je le souhaite très fort. La photo avait été publiée sur notre page Facebook par un Officionado et on l’avait repartagé sur ce même réseau. Gros succès direct. Moins cool, par contre, ceux qui ont repris la photo à leur compte pour faire du RT sur Twitter et sans citer leur source. Pas cool du tout. Mais ça n’arrivera plus. Nos trouvailles ont désormais le logo de la Ligue. Ici, on n’aime pas trop les voleurs et les fils de pute.”

2. Le Mamounator

Pourquoi ? “Parce que ce générateur de prénoms mamounesques était attendu par les fans qui le réclamaient à corps et à cris. Le succès a été au rendez-vous. Moins pour la version 2.0 qui est pourtant plus élaborée et donne des prénoms plus exploitables. Je dirais même que cette deuxième version est beaucoup plus dangereuse. Peut-être qu’à l’avenir certains enfants porteront des prénoms issus de ce Mamounator.”

1. Je suis Romuald

Pourquoi ? “Parce que, bien qu’en pleine crise migratoire et malgré la multiplication de commentaires racistes sur les réseaux sociaux, je pensais que la Ligue serait épargnée. Eh bien non. Un homme a réussi à lier le sujet brûlant du moment avec notre préoccupation quotidienne: les prénoms tunés. Il y a le point Godwin. En 2015, a été inventé, ici, le point Romuald : « Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les migrants s’approche de 1. » La reprise de la formule rhétorique mais “Pour … y’a du monde, mais pour sauver… y’a plus personne” par les Officionados a atteint des sommets du LOL. C’est aussi ça l’esprit Ligue: pousser le rire toujours plus loin.”