Outre-Rhin par exemple, "il n'y a pas d'interdiction générale de certains prénoms", confiait au journal Stuttgarter Zeitung Frauke Rüdebusch, membre de la Société pour la langue allemande L'article souligne le fait que le prénom "doit correspondre au sexe de l'enfant", et ne pas nuire à son bien-être. "Si les parents peuvent prouver que le nom existe - par exemple sur Internet ou avec un rapport professionnel - alors nous l'autoriserons", résumait une représentante de l'état civil.
En Espagne, les noms de fruits sont interdits, tout comme ceux des villes. Il est également interdit d'utiliser les noms et prénoms d'une personnalité publique pour constituer un prénom composé. De l'autre côté des Pyrénées, un bébé ne pourrait notamment pas être prénommé "Rafa-Nadal", même avec un nom de famille singulier. L'Italie, à l'instar de la France, fait aussi preuve d'une importante tolérance et veille simplement que des prénoms controversés où en références à des personnalités historiques controversées ne soient pas utilisés.