Certains prénoms comme Sarah, Nicolas, Julie ou Pierre sont très répandus dans la société. Cela peut ne pas être une mauvaise chose dans la vie d'un enfant. Avoir un prénom classique peut être un avantage pour trouver un travail.
"Comme Kevin, qui a été propulsé au premier rang des attributions en France de 1989 à 1994. Mais ce prénom, qui a beaucoup plu aux classes modestes et populaires, a été victime de son succès : aujourd’hui, un Kevin sur un CV français donne, à la seule vue du prénom, l’indication d’une origine sociale populaire. Par contraste, un prénom conventionnel reflète davantage le type de choix que font les parents dans les milieux plus favorisés. Les prénoms traditionnels échappent ainsi aux stéréotypes négatifs qui affectent le prénom Kevin."